Devinette:
Dans un champ à minuit, trois curés boivent du champagne. Quel est le prix du champ?
Réponse:
Trouvons d'abord la surface du champ:
Le champagne est un nectar = un hectare;
Minuit, c'est tard = 7 ares;
La tiare est une sorte de chapeau que porte le pape, les curés en sont dépourvus, ce sont donc des sans tiares = 3 centiares.
La surface du champ est donc 1hectare, 7 ares et 3 centiares, c'est à dire 107,03 ares.
Ces trois curés boivent de l'alcool en plein milieu de la nuit, ce sont donc des soulards! = 3 sous l'are.
Le prix du champ (champagne) est donc 321,09 sous.
Des pets de nonne sentent moins que des vendanges.
Soleil de Saint-Germain, Nous promet du bon vin.
Le Palais de l’Elysée vendra une partie de sa cave aux enchères, les 30 et 31 mai, à l’Hôtel Drouot, à Paris, afin de renouveler son stock. Des bouteilles de Petrus 1990 estimées à 2 200 euros pièce, mais aussi des crus plus modestes à partir de 15 euros, environ 1 200 bouteilles - soit 10 % de la cave du président de la République - seront vendues aux enchères, fin mai, à Paris. Une première.
Bordeaux, Bourgogne, Loire, Alsace ...
La sélection préparée par Virginie Routis, chef sommelière du Palais de l’Elysée, est dominée par le Bordelais et la Bourgogne, mais comprend aussi des vins de Loire, d’Alsace, du sud-ouest ou de la vallée du Rhône. « Tous ces vins furent servis à la table du président de la République et ont, pour certains, accompagné de grands moments de l’histoire de la Ve République », souligne Drouot. Les bouteilles qui seront mises aux enchères sont isolées ou en quantité insuffisante pour être servies à des réceptions.
Crise
Créée en 1947, sous la présidence de Vincent Auriol, et réaménagée en 1995 pour améliorer la conservation des vins, la cave présidentielle s’est enrichie au fil des décennies. Les enchères des 30 et 31 mai doivent permettre son renouvellement. Crise oblige, l’Elysée a promis d’investir dans des vins plus modestes. Et au-delà de 250 000 euros de recette, les profits seront reversés au budget de l’Etat.
Cette habitude remonte au temps où, dans l’Italie du XVIème et XVIIème siècles, il pouvait être très dangereux de boire avec son hôte ; en effet, certains avaient la fâcheuse habitude de chercher à vous empoisonner s’ils vous considéraient comme un ennemi, réel ou potentiel. Malgré ces comportements peu recommandables, on conservait une sorte de politesse de façade en s’obligeant à accepter les invitations, car un refus aurait été suspect.
A cette époque, le vin était, le plus souvent, servi dans des gobelets en métal (étain, argent ou or). La parade consistait donc à choquer assez fortement le gobelet de son hôte avec le sien, pour que quelques gouttes du liquide passent de l’un à l’autre. Si l’hôte buvait d’abord, tout allait bien !
Si on buvait ensemble, il fallait le regarder dans les yeux pour tenter de déceler d’éventuelles réticences de sa part et pouvoir, le cas échéant, s’abstenir de boire à temps. Evidemment, il ne fallait jamais boire le premier ! Bien que plus personne n’empoisonne ses invités, et que tout le monde ou presque boive dans des verres qui ne supporteraient pas le choc nécessaire à la manœuvre, on a conservé cette habitude de toucher les verres, les faisant tinter (ou "trinquer"). On boit donc "à la santé", ou plutôt "à la survie" !
[lefigaro.fr 20130511]
Maintenant, j'ai plutôt tendance à les descendre . . .
Côtes du Rhône,
Côtes de Blaye,
Côtes de Provence, . . .
Pourriture noble
Nom donné à l'action du "botrytis cinerea" dans les régions où elle permet de réaliser des vins blancs liquoreux.